Pourquoi ce titre ? Puisque je viens de me rendre compte que mes deux lectures du moment portent un début de titre similaire...
Bien évidemment, le point commun s'arrête là. Le premier, je l'ai découvert dans les rayons de ma médiathèque et je l'ai laissé posé là, même si son titre m'intriguait. Puis quelqu'un l'a présenté au dernier apéro coup de cœur et je l'ai emprunté cet après-midi afin d'en savoir un peu plus. Le pitch en quatrième de couverture présente l'auteur, abandonnée à son triste sort pendant son enfance car diagnostiquée dyslexique et donc, selon ses dires, vouée à être "nulle" en orthographe. Elle découvre des années plus tard qu'elle est en réalité dysorthographique et cherche par ses propres moyens une méthode pour se réconcilier avec la lecture et l'orthographe. Je n'ai pour l'instant lu que la première page du prologue mais j'espère découvrir des astuces d'apprentissage que je pourrais partager.
Le deuxième est un recueil de nouvelles fantastiques de Jean Molla. Je ne connais de cet auteur que Sobibor, roman qui m'a beaucoup touché de par son sujet mais aussi son écriture. Ce livre contient huit nouvelles, toutes différentes, toutes plus ou moins intéressantes, mêlant le suspense à l'irrationnel. Trois de ces récits ressortent selon moi du lot. Des récits bien ficelés, qui empêchent de refermer le livre tant qu'on a pas découvert la fin.
Dans la première, Le portable noir, une ado ramasse un téléphone abandonné sur un ponton et a le malheur de découvrir que toutes les personnes qu'elle appelle avec décède aussitôt. Cet instrument va lui servir de vengeance mais aussi (et sinon ça n'aurait pas d"intérêt !) lui jouer des tours.
Le centre aéré raconte l'histoire de deux copains, Martin et Bastien, qui rencontrent un étrange garçon, Landry, les mettant en garde contre leurs parents "En fait, ceux qui viennent le soir sont comme les parents, ils leur ressemblent à la perfection, mais ce ne sont pas les parents. Et personne ne s'en rend compte." Le soir, sur le chemin du retour, Martin se rend compte que Landry a raison et qu'il est en danger...
Et puis, nous partons à la rencontre de Léa, sirotant un cocktail au comptoir d'un bar. Notre narrateur la dévisage, la dévore même du regard. Cette jeune femme l'obsède, il doit lui payer un verre, il doit l'inviter à dîner, car il doit à tout prix goûter son sang. Mais le projet de notre vampire ne va pas se dérouler comme prévu...
Et puis, comme le printemps tarde à venir (à la différence du pape qui vient d'envahir les journaux télévisés...), deux petites photos pour faire comme ci il était là.
Ces deux titres m'intéressent...
RépondreSupprimerEt moi pas d'oiseau mais une tête de cerf dans la même collection que toi !
Elles sont super sympas aussi les têtes de cerf !
SupprimerMerci pour le morceau de printemps ! :)
RépondreSupprimerJe n'ai pas pu y ajouter l'odeur d'herbe coupée qui venait du jardin des voisins...
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