Angoulême

La soupe est à l'enfance, ce que le communisme est à la démocratie. Quino, Mafalda.

Déambuler dans les allées des pavillons éditeurs, se marrer en redécouvrant l'univers de Mafalda et son sens aigu de la répartie, lever la tête à chaque coin de rue pour observer les nombreux clins d’œil au monde de la BD, examiner les originaux de Tardi, attendre une dédicace et découvrir des yeux émerveillés lorsque le dessinateur de l'Ecole Crinoline choisit un crayon rose à paillettes, retourner à la cité de la Bande Dessinée et de l'image, s'arrêter à l'expo Davodeau, rater deux rendez-vous avec Isabelle Arsenault et se réjouir de son retour et de son crayonné très poétique, apprécier la rencontre avec Claire et Jake, les parents de Francis, blaireau farceur... Angoulême 2014, c'était bien. A l'année prochaine peut-être...