Cyril Bonin, Amorostasia, Futuropolis, 2013. |
Voici ma première participation au Challenge amoureux dans la catégorie :
Un étrange phénomène menace les rues parisiennes. La première victime est retrouvée dans son appartement, telle une statue de cire, une lettre à la main la demandant en mariage. Puis d'autres personnes sont découvertes, la plupart étant des couples, dans le même état : incapables de bouger et pourtant toujours en vie. Un nom est très vite donné à cette épidémie sans précédent : l'amorastasie, la maladie d'amour. Le facteur déclencheur serait en effet la simple manifestation du sentiment amoureux. Que se soient des retrouvailles, un baiser ou une première rencontre, les corps se figent, plongés dans un état végétatif.
Olga Politoff est journaliste. Accompagnée par son acolyte photographe, elle traque le moindre élément nouveau sur cette affaire qui dépasse toute la capitale. Elle-même s'interroge sur son couple et les dangers qu'elle encoure.
La psychose enfle lorsque d'autres zones françaises sont touchées par l'amorastasie. Des mesures drastiques sont alors prises : tout contact, même visuel, doit être évité. La ville vit dans une torpeur impressionnante. Olga devient une cible de premier ordre puisque son collègue photographe a fini par se figer... en la regardant. Elle est ainsi bannie de son bureau et cherche à tout prix les clés de ce mystère, pour retrouver une vie normale.
Un sujet pour le moins original, mélangeant la rigueur scientifique, l'enquête journalistique et l'amour. Une véritable surprise car n'ayant lu aucune critique, ni la quatrième de couverture avant de l'ouvrir, je n'imaginais pas découvrir cette histoire. Le dessin, tout en nuances de gris se mêle agréablement au texte. Un bon moment de lecture en perspective pour ceux qui ne l'ont pas encore eue entre les mains !
L'avis de Sandrine, c'est par ici !
Challenge amoureux saison 4 chez l'Irrégulière catégorie : Bulles d'amour |
Une belle histoire que j'ai lu il y a peu de temps.
RépondreSupprimerPasse un bon 14 juillet :)
Après ton commentaire enthousiaste tout comme celui de Sandrine, y a plus qu'à le lire dans un transat...
RépondreSupprimerTrès bonne idée !
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