E.K. Moore, Les suprêmes, Actes Sud, 2014. |
Elles sont trois. On les surnomme les Suprêmes, depuis leur adolescence. Elles sont les meilleures amies du monde, et se retrouvent au restaurant de Little Earl pour commérer, tous les dimanches, après l'office.
En apparence, tout les sépare. Il y a la battante, née dans un sycomore, qui refuse la peur et combat son cancer à coup de marijuana et de conversations avec sa mère défunte. Il y a la femme trompée, ancienne prodige du piano, qui croit que pour gagner le paradis, il faut souffrir en silence. Et puis il y a la femme fragile, celle que tout le monde admire mais qui pleure son fils disparu et sa dépendance à l'alcool.
Trois portraits de femmes afro-américaines quinquagénaires, auxquelles on ne peut que s'attacher. Un beau roman sur l'amitié, sur fond de ségrégation raciale qui probablement (selon la quatrième de couverture) fera l'objet d'une suite...
J'adore ce genre de roman... Merci pour l'idée.
RépondreSupprimerMais je t'en prie ! C'est vraiment une belle histoire qui se lit rapidement !
SupprimerJe ne connais pas mais l'idée me plait.
RépondreSupprimerJe note !
Oui, ça te plairait !
SupprimerJ'avais lu le résumé dans un magazine et je l'ai conservé pour le lire peut-être plus tard.
RépondreSupprimerTu peux le garder sur ta PAL, oui !
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